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il
n'échappe pas à
Pierre Laurent Borel d'être UN INCONNU PAS COMME LES AUTRES Sa vie racontée par le seul être qui a toujours cru en lui et l’a toujours soutenu : LUI MÊME |
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PLB face à son destin |
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Dès sa naissance, PLB causa problème aux bonnes fées chargées de lui trouver des qualités. | Afin de n’en vexer aucune, il décida de les avoir toutes. | La suite des choses montra qu’effectivement, il les a bien eues. | Reste à savoir s’il s’agissait des fées ou des qualités... |
PLB homme de cinéma |
PLB et la presse
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Les sirènes de la renommée retentirent pour PLB et la première fois alors qu’il avait huit ans. En 1963 il joua son premier rôle au côté de Johnny Halliday dans le film « D’où viens tu Johnny ». Dans la scène de l’arène, le gros point blanc au milieu de la foule à droite, c’est lui. |
La presse fit état de lui
dès ses 10 ans, dans le
« journal des
pieds nickelés » en 1965. PLB venait de
relever le défi lancé par le magazine |
PLB apparût durant 2 secondes dans « Lyon Police spéciale » sur France 2, et 8 secondes dans « Le parisien du village » sur France 3. Sa présence n’est pas passée inaperçue. Aucun gros plan n’était prévu au départ, mais sa stature y a pourvu... |
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Afin de dépanner un camarade qui manquait d’acteurs dans sa troupe, il y joua un rôle de suppléant pendant une dizaine d’années. Aujourd’hui, il joue en solo des comédies de sa facture. |
PLB écrit aussi pour les autres. Outre quelques projets en préparation, il a déjà à son actif une comédie musicale qui aurait dû s’intituler « Le fabuleux destin d’André Zacharie Raimbourg ». Mais le titre lui a été volé, de sorte que le spectacle se nomme désormais « Et la tendresse, Bourvil » |
PLB commença à réaliser ses premiers chefs-d’œuvre picturaux avec un prestigieux Instamatic 25 (parfois aussi un vieux Telka III.b). Citons notamment la photo qui immortalisa la peluche de Bambi de sa grande sœur, qui entre temps avait renoncé aux poupées. | |
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Très tôt, la curiosité scientifique de PLB le poussa à disséquer les poupées de sa grande sœur afin de comprendre pourquoi elle criait « Maman » (la poupée, pas la sœur). Il disséqua dans le même esprit réveils matins, électrophones, plantes en pot et autres (notez qu’il n’y avait chez lui ni animal domestique ni frère cadet). |
Le fil à couper la margarine et le laser à couper le beurre sont les fruits de son cerveau déjà fertile à l’âge de 10 ans. Mais c'est sans aucun doute la BACB qui constitue son apport le plus marquant à la marche de l'Humanité... |
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